«Le Musée d’Art Américain est si discret, si bien intégré dans le paysage de Giverny qu’il ne se devine que par touches et par fragments.
Presque végétal, camouflé comme le pont japonais vert dans le jardin d’eau de Claude Monet, il n’offre au visiteur qu’une impression de musée. Comme un caméléon, il simule son absence.
Sa richesse est dans les vues et les espaces intérieurs.»
Textes de Lou Mollgaard
Témoignage de M.-Ch. Gomez de Lagune Interview de Philippe Robert
Mise en page de Corine Malec Vautier
01 janvier 2004